Redécouverte de techniques secrètes basées sur une antique Tradition authentique.e
Le
Caducée hermetique et le miroir
Une
simple technique et son interpretation alchemique.
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Source : Les recherches du Dr. Paret
Lieu : Nice, France, Londres, Allemagne, Europe
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Ami chercheur
,
Tout ce que nous enseignons est illusoire
si cela ne se traduit pas par une pratique et par un acte.
On va te communiquer les directives
concernant les premières opérations qui vont dans le sens de la voie,
que tu connais
pour ce que
je t’en ai
dit précédemment.
Tu dois
avant toutes choses
maîtriser un trait
de ta vie,
de ta journée
afin de fixer solidement
et activement une
nouvelle qualité.
Détache-toi intérieurement
de toi et de ce
qui t'entoure, et
essaye d'avoir une
vie sobre, sans
effort, sans
excès, neutre
et équilibrée.
Dors assez et dans
l'alimentation soit
modéré.
Que
ton corps soit
intact, calme,
harmonisé. Fortifie
ton âme avec
ta puissance,
épure-la de
l'impulsivité,
de la passion,
de l'agitation,
puis fixe-la
et amalgame-la
dans ton corps.
Les
autres êtres n'existent
pas. Leurs
actions et leurs
pensées ou jugements
ne te touchent
pas – quelqu’ils soient.
Fais en sorte que rien ne puisse pénétrer
en toi à ton insu : surveille, ce qui vient de l’extérieur et ce qui émerge des
profondeurs de ta propre conscience.
Observe en
silence avec intelligence et imperturbablement, avec une main rapide et
énergique freine tout jugement.
Si des passions te perturbent, ne
réagis pas et ne te trouble pas. Conduis-les au contraire délibérément à
satisfaction et ensuite sépare-t-en.
Continue
sur cette direction jusqu'à réussir à ressentir la frivolité, l'inutilité et les
pièges de chaque pensée, de telle façon que même ton mental peu à peu
s'aplatisse et vienne s'accroupir en silence à tes pieds.
Ainsi tu
mettras lentement sur pied une force qui te sera propre, semblable à un seigneur
dont le regard impose le silence, le respect ou le mépris aux esclaves qui
l'entourent.
Ceci est
notre or : ☉
Quand tu auras travaillé tout ceci avec un
art subtil et constant, avec force et douceur ; quand le stade équilibré et
neutre sera devenu une chose permanente et naturelle, alors tu auras
l'impression de te rejoindre dans un sens d'intériorité dont tu n'avais aucune
connaissance auparavant.
Observe cette sensation et
entretiens-la. Lorsque tu t'en seras appropriée entièrement, avec un acte
intérieur sur lequel je ne peux rien te dire, parce que tu l'apprendras seul
après l'avoir découvert, cherche à la mettre en connexion avec le corps
de telle sorte que, comme la chaleur dans l'eau, elle s'y répande et à la fin
des deux il ne résulte plus qu'une seule chose, qu'un seul état.
Cet état est l'état fluidique.
Et l'opération dans notre tradition est dite : la première
extraction du mercure (de l'Hermès
☿)
de la minière.
Garde
bien ta conscience, cet état, immobile, avec une fermeté calme. Puis laisse-le
aller, puis ré-évoque le, à plusieurs reprises : étudie-le, apprend le, jusqu'à
ce que tu le ressentes comme une réalité qui attend dans le subconscient, prête
à surgir à ton appel. Quant tu auras conquis ce point, sois certain d'être allé
suffisamment loin.
Je ne te parlerai pas des différentes propriétés du corps
fluidique en fonction des différentes opérations, sauf sur la première
desquelles je t'instruirai. Sache seulement que chaque rapport sexuel qui sera
dominé par la soif de la volupté le paralysera, le rendra inerte et faible -
surtout chez les tempéraments nerveux.
Sache qu’il est dynamisé par le régime végétarien,
par le jeûne, et aussi par les parfums magiques, comme le précise un de ses
noms, qui est "le corps aromatique" et, dans un de ses aspects particuliers,
"vampirique". Sache que chaque déséquilibre ou émotion imprévu qui survient
quant la conscience est en rapport avec lui peut produire des dommages, même
graves, dans le physique comme dans le psychique. Sache enfin que ces vertus
vont s'affiner par l'intermédiaire d'une discipline spéciale.
Je te donnerai un indice supplémentaire sur celle-ci afin que tu
puisses comprendre le sens de l'éducation initiatique du sentiment.
Tu ne dois
pas détruire le sentiment, mais tu dois détruire ton adhésion à celui-ci,
c'est-à-dire la volupté, le désir et l'aversion, l'angoisse dans le sentiment.
Purifie-toi de telles scories : libère-toi des liens du cœur. Sois, dans
la perception, ouvert, libre, sans peur et sans mesquinerie.
Comme une eau claire, ne bouge pas, laisse apparaître les choses
qui sont au fond, ainsi qui ne sont plus identifiées avec les sentiments,
accueille-les et observe-les comme tu le ferais pour des choses du monde
extérieur. « Comme je ne suis pas l’aliment que je mange, de la même façon je ne
suis pas les sentiments que je laisse retentir librement en moi-même – ils ne
sont pas à moi, ils ne sont pas moi. Cette évidence naît en toi.
Seulement à ce moment les sentiments pourront te parler –
quand tu cesseras d’être leur captif, occupé seulement à jouir et à souffrir.
Ils te révéleront un nouvel organe des sens au-delà de ceux des animaux,
« objectif » par rapport à ceux-ci bien que tourné vers un aspect plus subtil de
la réalité. Eduque ce nouveau sens avec l’attention intérieure, tournée vers
l’oreille du cœur : rend-le raffiné. Au centre de toi-même, comme une
araignée qui tient tous les fils de sa toile et qui contrôle chacune de leur
vibration, sois un maître et une lucidité calme et scrutatrice au centre d’une
sensibilité parfaite, purifiée et intrépide, ouverte à toute voix.
Cette éducation du cœur, que tu feras par « persuasion », avec
un « feu » lent et doux, infusera dans ton corps fluidique un pouvoir de
connaissance supra sensible. Elle réalise une « eau distillée », une eau
transparente consacrée par le signe de ta neutralité qui la domine :
Arrivé à tout cela, tente la libération du pouvoir central
☉
et la rencontre avec le serpent. Ceci arrive quand la conscience de ton « je »
saura se transférer dans le siège du corps fluidique et celui-ci se sera détaché
des sens animaux et s’isoler en conséquence du monde physique.
Les techniques utilisées sont diverses. Méprise la prudence des
petites méthodes de « méditation », qui rarement sont capables de te conduire –
réellement et pas dans ton imagination – dans les marais des formes mentales et
dans la prison du cerveau. Adresse-toi aux méthodes directes. Utilise par
exemple le « miroir. »
Pour isoler le corps fluidique il faut que tu neutralises et que
tu rendes inerte la sensibilité du corps animal. La technique du « miroir » agit
sur le nerf optique et le fatigue jusqu’à ce que la puissance concentrée dans le
regard se libère de l’organe physique et se réalise dans la lumière fluidique.
Procède ainsi. Trouve-toi une
chambre bien propre, si possible en dehors de l’atmosphère agitée et trouble des
grandes villes, à la campagne, en un endroit où de loin règne le silence et où
nulle ne viendra détourner ton attention. Ferme-toi hermétiquement. Les nuits
sèches et sereines sont les plus propices. Ne porte pas de vêtements qui
enserrent le corps et fais que ce dernier ne soit pas surchargé par le poids des
aliments Brûle un peu de myrrhe, la fenêtre ouverte, puis une plus petite
quantité la fenêtre fermée, puis assieds-toi devant le miroir.
En ayant nettement exprimé ta volonté, évoque à plusieurs
reprises, de façon persuasive, l’état fluidique que l’inspiration lente et
profonde du parfum rendra plus vive, et lie-le étroitement au sens dont la
« présence » et la supériorité impassible soit capable de commander.
Fixe donc le miroir.
Le miroir peut être de verre, voire même d’acier, de cuivre ou
de bronze, concave de toute façon, ainsi il pourra rassembler en un point
central la lumière d’une lampe située de telle sorte que l’opérateur ne la voit
pas et que tout reste dans une pénombre à l’exception du miroir.
Fixe donc ce point sans battre des paupières, jusqu’à ne voir rien d’autre.
Insiste. Ainsi il se changera en un point noir. Le point noir s’élargira en une
tâche bleuâtre qui deviendra ensuite une auréole d’abord imprécise, puis blanc
laiteux. Encore un pas et de cette lueur s’épanouira en une rapide expansion une
clarté illuminée, une lumière qui donne une sensation de liberté e de fraîcheur.
C’est le seuil du suprasensible, le premier contact avec la
« Lumière Astrale », là où sur le noyau subsistant de la psyché, cessent de se
graver, par définition, les conditions auxquelles sont astreints les êtres
incarnés qui sont au fond des « Eaux. »
Je t’ai déjà dit : fixe. Ceci est tout, ceci est rien.
C’est un mot qui renferme une longue tentative, un chemin incertain, construit
par l’art secret des consciencieux, subtiles et prudents dosage, combinaison et
équilibre de l’actif et du passif, du sensitif et du déterminatif de l’âme. Je
peux te dire peu de chose sur ce sujet, pour t’aider. Tu dois faire toi-même ton
chemin et tes jambes pour marcher.
Sois ton propre regard, sans
effort, sans volonté apparente, comme celui qui est en train de s’endormir
doucement (un feu sous les cendres.) Laisse-le fixe, puis abandonne-le, essaie
de ne plus y penser et oublie-le. La vue est le point de départ mais en vérité,
toute ton âme sera agissante dans l’opération, et la fixation du regard,
seulement un moyen pour se fixer elle-même.
Intensifie l’abandon en l’aimant, en y condescendant, en
le fortifiant avec une douce obstination jusqu’à ce qu’il soit devenu un chose
continue qui ne cherchera plus à se soustraire à ton désir de le chasser
encore plus profond. Par ailleurs, tu dois garder une présence à toi-même
subtile et tenace – toi, comme un simple point qui n’est pas limité
par la peur, qui sait se garder et en se gardant qui n’entrave pas le sens de
l’abandon, qui l’éloigne de l’abandon par échappement et dissolution, et dans le
chemin, sans se disperser mais en renaissant avec l’expérience inattendue d’une
plus grande limpidité, simplicité et force. Ici apparaît une première
conjonction de soufre et de mercure, de la Lune et du Soleil ; tu connais donc
l’œuvre en tant que première préparation du Caducée d’Hermès.
Les obstacles – en faisant
abstraction de ceux qui interviennent quand tout est accompli – sont dans un
dosage excessif ou déséquilibré du Mercure et du Soufre. Je t’ai parlé de la
préparation qui doit rendre ta nature corporelle calme, malléable et
harmonieuse. Maintenant tu dois prendre cette nature avec douceur et la conduire
à l’opération sans qu’elle s’en rende compte. Si par impatience et maladresse,
tu es excessif dans la force, elle réagira, se libèrera de toi et voici que
brutalement tu seras projeté à ton point de départ. Ces réactions instinctives,
au début sont inévitables ; mais elle ne doivent pas te décourager : recommence
avec un esprit neuf, à la même heure, insiste subtilement – Eliphas Levi dit :
comme « la vague qui revient sans cesse et finit par ronger même le fer. »
Aux réactions et aux alarmes instinctives de ton corps,
succèderont celle de ton esprit pas assez trempé. Il t’arrivera de ressentir
comme des défaillances, un genre de chute brutale, c’est pourquoi tu
sursauteras, tu te retiendras rapidement – et de nouveau tu retourneras au point
antérieur.
La voie te sera fermée tant que tu n’auras pas éveillé en toi une promptitude
encore plus grande avec laquelle de façon foudroyante tu arrêteras la première
réaction bien que celle-ci puisse intervenir pour suspendre le détachement
fluidique. L’erreur opposée est dans la possibilité d’un abandon dans
l’abandon qui dissolve la présence à toi-même. Ceci ferait tomber du monde
des Mages dans le monde des médiums et des illuminés, du monde des
supra-sensibles dans le monde des sub-sensibles. Chez le médium, le
centre se dissout et sa conscience glisse vers le bas, elle s’immerge dans le
corps, elle devient la même que celle du corps. Il est sous la pleine dépendance
du corps et ce qu’il expérimente, ce sont les affleurements et les
« projections » des tendances troubles et des forces élémentaires qui sont
contenues dans son organisme. Le signe de cette perversion et de cet échec de
l’opération est une sensation de fatigue mortelle qui te saisira à peine
tu seras revenu à un état normal : parce que d’autres forces se seront nourries
de ta propre force.
Créer une prépondérance toujours plus décidée du centre
intellectuel sur la sensibilité périphérique en contact avec le monde extérieur
et par conséquent sur les éléments organiques et subconscients en général, tel
était la tâche de la « préparation » indiquée au début de cet écrit. Cette
prépondérance conduit au stade dont je t’ai parlé =
où
l’esprit se rejoint avec soi-même et réalise l’expérience d’une indépendance,
subsistance et supériorité par rapport à tout ce qui est corporel et animal.
Quand dans ta fixation, rendue continue et intensifiée de façon intrépide sur la
direction interne, arrive le détachement du corps fluidique, c’est une chose qui
arrive peu, tu dois rester ferme, absolument, dans cet état pur, immatériel,
extra-cérébral de l’esprit et du « Je. » Si tu n’en es pas capable, survient
l’état médiumnique et somnambulique dans lequel le corps fluidique libéré est
privé du noyau central et devient un instrument passif du monde inférieur.
Par contre si tu dépasses activement le point neutre, tu
réaliseras dans la « Magnésie des Sages » la « Renaissance de
l’Esprit. » Je veux dire que du noyau d’or de ton esprit intégré, rassemblé
et un = ,
s’épanouira une lumière intellectuelle, dans laquelle tu réalisera
un sens qui te sera nouveau, puissant, transformé. Tu verras. Tu seras
éveillé.
Philalèthe nous dit (Introitus, chapitre I et XIII) :
« Pour notre or (
= soleil qui est le noyau éveillé et constitué par la préparation) il se passe
la même chose (que pour la graine) ; tout d’abord il est mort ou, plutôt, sa
vertu vivifiante est cachée sous la dure écorce de son corps… Dès qu’il est
mouillé de notre Eau (qui est le
☿,
le fluidique), il renaît, reprend vie et devient l’Or des Philosophes… Le
fixe =
devient volatile pour un certain temps afin d’hériter d’une qualité plus
noble qui lui servira ensuite à fixer le volatile. »
Avec cette expérience, ton « Je » laisse donc le véhicule
animale, esclave des « eaux », et prend un corps fluidique ou « corps d’air » --
par l’organe d’action, avec lequel et avec les déterminations qui conviennent il
lui est possible d’opérer de multiples et admirables œuvres. Et si en reprenant
le corps animal tu rencontrais des difficultés, rappelle-toi, le moyen est : en
évoquer l’image et la désirer.
Pour le mage, il est question de sortir d’une façon ou d’une
autre de l’atmosphère d’esclavage et d’ivresse qui est « l’âme de la terre » ;
entrer dans un contact conscient avec le monde de là-bas et de là agir
activement, en dirigeant de façon convenable des réactions et des effets sur la
vie réelle. Son esprit – dit Kremmerz – est comme une flamme qui monte et qui
descend : il sait remonter à la surface du courant des « eaux », consacré dans
« l’air », il lui est virtuellement dévoilé la possibilité de soumettre les
êtres qui dépendent de ce même courant, lequel apparaît maintenant comme la
« Lumière astrale » elle-même.
Je t’ai donné une voie. Essaie comme je te l’ai dit avant de
penser à une quelconque autre opération. Ne crois pas que la tâche soit facile
ni dépourvue de danger, n’en attend pas quelque chose dès les premières
tentatives. Si tu es constant et maître du doute, tu réussiras. Ose et
tais-toi.
La force la plus importante est la volonté de l’homme qui sait
ce qu’il veut. Fixe donc ton but et n’en change jamais. Une fois commencé,
n’abandonne pas sans une raison précise parce que, comme je te l’ai déjà dit, la
voie de la Magie ne connaît pas « d’angles morts » : penses-y avant d’y entrer.
Nota: Vous pouvez trouver d'autres interessants textes
alchemiques à cette addresse:
http://pagesperso-orange.fr/chrysopee/somalc.htm
SYNTHESE
(hors texte)
Il y a un corps de l’eau collé au corps
de terre, c’est notre centre de gravité (eau + terre). Il y a une autre partie
composée d’air et de feu, mais il y a rupture entre les deux tronçons de la
pyramide (cf le document « l’invocation Angélique, Théorie »).
La préparation
est aussi une séparation, on sépare la terre de l’eau, cela se réalise par un
travail d’attention constante, mais sans excès ou maltraitance, avec équilibre,
sobriété, un jeûne sans excès (on utilise la force de l’eau, forte par sa
douceur et sa constance et non la volonté martiale qui est la force de l’ego).
1ère
étape :
Observe en
silence et imperturbablement. Cette observation a pour effet de ressentir la
frivolité de l’agitation, des affects qui viennent du dehors. A ce stade on
commence à ressentir une sensation de calme et une force intérieure (recentrage,
se tenir dans l’Axe). C’est une préparation, rien n’a encore été transformé,
c’est la séparation du corps de terre et du corps de l’eau (émotion, angoisse,
traumatisme) qui permet au corps de terre de refleurir (la démarche à ce stade
est thérapeutique).
2ème
étape :
Cette étape
consiste à rendre cet état constant (fixation). C’est la première extraction du
Mercure (Hermes, le centre) de la minière (la grotte, l’ensemble de notre être).
3ème
étape :
L’éducation du
cœur. C’est l’action d’un feu lent et doux, on est comme une eau claire ou l’on
voit les vagues d’émotion comme quelque chose qui n’est pas soi, qui n’est pas à
soi, et cela aboutit à la découverte d’un état de conscience objectif. Là nous
découvrons un nouvel organe des sens dont l’homme dispose mais pas les animaux.
Cette éducation du cœur produit une eau distillée et en même temps un moyen de
connaissance supra-sensible.
4ème
étape :
Libération du
pouvoir central et rencontre avec le serpent.
Cela consiste à
isoler le corps fluidique, et pour cela il faut rendre inerte la sensibilité du
corps animal (corps de terre). L’exercice du miroir magique permet de faire
l’expérience de la lumière astral (perception du corps de feu).
A ce stade, toute
la difficulté consiste à fixer cet état qui devient ensuite comme un feu sous la
cendre. A ce moment là, on a réussi à joindre le corps de feu et d’air avec le
corps de l’eau. (c’est la conjonction de la Lune et du Soleil, ou la conjonction
du Soufre et du Mercure ou Caducées d’Hermes.
A ce stade il y a
deux obstacles ;
-
Trop de Soleil (volonté
de parvenir), dans ce cas cela brusque notre nature et elle se révolte (tout est
à recommencer).
-
Trop de Lune (abandon
dans l’abandon), dissolution en soi-même, état médiumnique.
La est réalisée la
Magnésie des Sages (l’aimant qui attire le feu, le Sacré Cœur).
Certains de ces
techniques de présence étaient proposées à l'intèrieur des cercles ATOUM. Pour
plus de renseignements visitez aussi notre site sur les cercles ATOUM.
Maintenant nous
proposons une partie de ce parcours (la densification de l'etre) à l'intèrieur
de nos stages de mesmerismus.
http://www.pnl-nlp.org/courses/contactus.php |